Découvrez une maison considérée comme un manifeste de l’Art nouveau nancéien Maison Bergeret Nancy

Name: Découvrez une maison considérée comme un manifeste de l’Art nouveau nancéien Maison Bergeret Nancy
Start: 2024-09-21T09:30:00+02:00
End: 2024-09-21T12:00:00+02:00
Location: Maison Bergeret Nancy

Découvrez une maison considérée comme un manifeste de l’Art nouveau nancéien Maison Bergeret Nancy, samedi 21 septembre 2024.

Journée du patrimoine 2024, Découvrez une maison considérée comme un manifeste de l’Art nouveau nancéien Samedi 21 septembre, 09h30, 11h00 Maison Bergeret visite gratuite, inscription obligatoire, groupe limité à 16 personnes, pas d’accès PMR

Dates et horaires de début et de fin (année – mois – jour – heure) :
Début : 2024-09-21T09:30:00 – 2024-09-21T10:30:00
Fin : 2024-09-21T11:00:00 – 2024-09-21T12:00:00

L’Université de Lorraine, qui réalise actuellement l’inventaire de son patrimoine, en partenariat avec la Région Grand Est, vous ouvre les portes de l’une de ses présidences, plus connue sous son appelation d’origine, la maison Bergeret. Venez découvrir son nouvel aménagement intérieur !

Consultez la visite virtuelle pour un avant-goût de l’ambiance du lieu
https://visite-virtuelle-bergeret.univ-lorraine.fr/

Maison Bergeret 24 rue Lionnois, 54000 Nancy Nancy 54000 Meurthe-et-Moselle Grand Est 03 83 68 21 11 http://www.univ-lorraine.fr/ [{“type”: “link”, “value”: “http://eventbrite.fr”}] [{“link”: “https://visite-virtuelle-bergeret.univ-lorraine.fr/”}] Construite en 1903 par l’architecte Lucien Weissenburger, la maison d’Albert Bergeret (imprimeur de cartes postales nancéien) peut être considérée comme un manifeste de l’Art nouveau à Nancy. Si l’architecture est encore tributaire des styles historiques, la décoration est une brillante démonstration du savoir-faire de l’École de Nancy. La Maison Bergeret fait partie du patrimoine de l’Université de Lorraine.

Certaines verrières de la maison Bergeret ont été réalisées avec des pavés de verre de l’architecte suisse Gustave Falconnier (1845-1934). Son œuvre, et tout particulièrement cette réalisation nancéienne, a fait l’objet d’un récent travail de recherche à l’université de Lausanne exposé au château de Nyon (Suisse).