Journée du patrimoine 2024, Visite du parc du château de Courterolles 20 – 22 septembre Château de Courterolles Tarif : 6 € | Gratuit pour les moins de 20 ans.

Dates et horaires de début et de fin (année – mois – jour – heure) :
Début : 2024-09-20T10:00:00 – 2024-09-20T18:00:00
Fin : 2024-09-22T10:00:00 – 2024-09-22T18:00:00

À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, venez visiter le potager et le parc du château de Courterolles. Il sera possible de voir la chapelle, l’orangerie et l’exposition du peintre-graveur Renaud Allirand. Des visites guidées sans réservation seront proposées samedi et dimanche à 11h et 15h. Sinon, un plan du parc sera remis aux visiteurs qui pourront aussi poser leurs questions aux jardiniers.
Le parc comporte des œuvres d’art contemporaines ainsi qu’une importante collection botanique.
Le potager fleuri, qui est cultivé selon des méthodes proches de la permaculture, compte quant à lui de nombreuses curiosités, plus de cent tomates différentes et une grande variété de fruits et légumes.
Plus d’informations : www.chateaudecourterolles.com

Château de Courterolles 1 Grande rue – Courterolles, 89420 Guillon Guillon-Terre-Plaine 89420 Guillon Yonne Bourgogne-Franche-Comté 06 07 27 02 80 https://www.chateaudecourterolles.com [{“link”: “http://www.chateaudecourterolles.com”}] Le château de Courterolles est un ensemble de bâtiments datant du XVIe siècle à la fin du XVIIIe siècle. Le parc est labellisé « Jardin remarquable » et comporte une importante collection botanique. Il est agrémenté d’œuvres skate contemporaines. Il présente aussi un grand potager où se mêlent fleurs et légumes. Plus de 120 sortes de tomates différentes y sont cultivées. Il est proposé de visiter le parc, d’avoir accès à la chapelle ainsi qu’à l’exposition temporaire. Possibilité de se garer à l’extérieur de la propriété, à proximité de l’entrée.

À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, venez visiter le potager et le parc du château de Courterolles. Il sera possible de voir la chapelle, l’orangerie et l’exposition du peintre-grave…

© Philippe Parmenon