Chargement Évènements

Ouverture de la chapelle Sainte-Eugénie Chapelle Sainte-Eugénie Nîmes

Ouverture de la chapelle Sainte-Eugénie Chapelle Sainte-Eugénie Nîmes samedi 20 septembre 2025.

Ouverture de la chapelle Sainte-Eugénie 20 et 21 septembre Chapelle Sainte-Eugénie Gard

Gratuit. Sans réservation.

Dates et horaires de début et de fin (année – mois – jour – heure) :
Début : 2025-09-20T15:00:00 – 2025-09-20T18:00:00
Fin : 2025-09-21T15:00:00 – 2025-09-21T18:00:00

Construite dans un premier temps au Xe siècle, cette chapelle est le plus vieil édifice chrétien de la ville qui nous soit parvenu. Le lieu est aussi remarquable pour ses ajouts du XIXe siècle. Un retable néo-gothique côtoie une façade en ciment moulé d’inspiration médiévale.

Chapelle Sainte-Eugénie 7 Rue Sainte-Eugénie, 30000 Nîmes, France Nîmes 30000 Gambetta Gard Occitanie Edifice roman cité dès 956, seul édifice religieux à avoir échappé aux destructions de la fin du XVIe siècle. La chapelle fut concédée aux Protestants en 1561, puis utilisée comme poudrière. En 1569, elle est vendue et reste à l’abandon. En 1657, Sainte-Eugénie est rendue au culte catholique et reste l’unique paroisse de la ville jusqu’en 1746. Les Visitandines s’installent dans le cloître, mentionné à l’est de l’église dans le dénombrement de biens de 1547, en attendant d’intégrer leur couvent en 1666. En 1792, la chapelle est vendue comme bien national. En 1877, elle est rachetée par le chanoine Couran pour être rendue au culte après des travaux qui lui donnèrent son aspect actuel. L’édifice présente deux périodes de construction : la nef du Xe siècle et le choeur du XVe siècle. Il a été dotée vers 1880-1885 d’une façade en ciment moulé néo-médiévale et surmontée de deux étages. Le retable néo-gothique qui occupe toute la travée du choeur serait l’oeuvre du sculpteur Roy ou Rey.
Construite dans un premier temps au Xe siècle, cette chapelle est le plus vieil édifice chrétien de la ville qui nous soit parvenu. Le lieu est aussi remarquable pour ses ajouts du XIXe siècle. Un en…

© Stéphane Ramillon