Accroché au TGV à 300 km/h : l’hallucinante cavalcade d’un homme entre Paris et Valence

paris valence train homme
Image d'illustration virtuelle

« On ne sait pas comment il a survécu » : à moitié gelé, un Polonais émerge de l’enfer entre deux rames d’un TGV lancé à pleine vitesse. L’histoire semble tout droit sortie d’un film d’action. Et pourtant, elle est bien réelle.

 500 KM DE TERREUR À L’EXTÉRIEUR D’UN TGV

Les faits se sont déroulés ce mardi 7 mai 2025. À la gare de Valence, des agents SNCF tombent des nues : entre deux rames d’un TGV venant de Paris, ils découvrent un homme inanimé, tremblant, collé au métal glacé, incapable de parler. Âgé de 42 ans, de nationalité polonaise, il a parcouru plus de 500 kilomètres dans une cavité technique minuscule, nichée entre la motrice arrière et la dernière voiture du train.

Un espace si étroit que seul un corps allongé pouvait s’y glisser, sans aucune protection contre le vent, la pluie, le froid. Et encore moins contre les secousses d’un train fonçant à plus de 300 km/h.

UN EXPLOIT INSENSÉ… OU UNE TENTATIVE DE FUITE DÉSESPÉRÉE ?

La SNCF reste muette, les gendarmes aussi. L’homme, en hypothermie sévère, a été immédiatement conduit à l’hôpital de Valence. Il a refusé de décliner son identité complète, ne livrant rien sur ses intentions, son itinéraire exact ni sur la manière dont il a pu s’introduire dans cette zone ultra-sécurisée.

Mais selon certaines sources, il aurait profité d’un moment d’inattention ou se serait faufilé dans un dépôt technique avant le départ à la gare de Lyon. « Il était accroché dans une sorte de soufflet entre deux voitures. Un miracle qu’il n’ait pas été aspiré, broyé, ou qu’il n’ait simplement pas lâché prise avec le froid », confie un agent SNCF.
« Il ne parlait pas. Il avait la peau bleue, les mains tremblaient. On a eu du mal à le détacher. »

UNE COURSE CONTRE LA MORT SUR LES RAILS

Températures glaciales, vent à décorner un bœuf, vibrations incessantes… ce passager clandestin a affronté une véritable torture physique pendant plus de 2 heures de trajet. Chaque minute accrochée au convoi aurait pu être sa dernière.

UNE ENQUÊTE EN COURS… ET BEAUCOUP DE ZONES D’OMBRE

Pour l’heure, aucune piste n’est privilégiée : réfugié politique ? Sans-abri en errance ? Acte de folie ? Le mystère reste entier. Mais ce qui est certain, c’est que cet homme a frôlé la mort pour un voyage que personne ne pourra jamais oublier.

Départ : Paris Gare de Lyon

  • Heure estimée : vers 7h15
  • Température : environ 12°C
  • Conditions : ciel voilé, vent modéré

Trajet à grande vitesse

  • Distance parcourue : environ 500 km
  • Vitesse moyenne du TGV : environ 300 km/h
  • Durée estimée : 2h12
  • Position de l’homme : accroché entre deux rames, sur la partie rigide du soufflet, à l’extérieur du train

Arrivée : Gare de Valence TGV

  • Heure estimée : vers 9h30
  • Température : environ 11,6°C
  • Conditions : ciel voilé, vent modéré

Conditions climatiques et risques d’hypothermie

Malgré des températures modérées au sol, l’exposition directe au vent à grande vitesse a considérablement amplifié la sensation de froid. À 300 km/h, le refroidissement éolien peut faire chuter la température ressentie de plusieurs dizaines de degrés, augmentant drastiquement le risque d’hypothermie