Le mercredi, c’est spaghetti ? Non, pas plus que potimarron, ce sont les carnets du Petit Piéton. Ils vont feront sourire, pleurer de rire, peut-être de joie, qui sait de honte. Les déambulations mirifiques d’un acteur du pavé rennais.
« Wesh side story » (cliquez-moi et openez-moi dans une autre fenêtre)
Bon, soyons clairs : Rien de plus amusant que de se faire accoster et voir proposer une multitude de marchandises pour « open up » your mind ! Quand je pense qu’il y a encore quelques années, il fallait jouer à « cache-cache » (ou à chat suivant les affinités) pour se procurer de l’herbe à sourirrrrre ou de la farine sans gluten… Maintenant des échoppes sont ouvertes dès 6 h le matin ; et ce, jusque tard euh, bah… le matin 6 h. Ce que j’adore dans cette ambiance bon enfant, ça reste le dialogue ; et parfois les insultes, si on n’est pas consommateur. Non je mens, ce que j’aime : c’est voir des gamins de 14 ans être accostés et se voir offrir un aller-retour avec retournement des chakras sous les yeux aimants des caméras (ptêt’ qu’elles sont en 
« J’ai deux amours : mon pays et l’sushi » et, de jour en jour, moi j’roule mes makis
Nous le savons tous, et surtout nous y avons goûté : pour être cool et tendance, faut connaître la j-pop, et écouter la k-pop (perso je connais depuis les années 90, mais les médias disent du courant qu’il est nouveau…), manger des tempuras et jouer à Dragon Ball
Online (suis sur le serveur Taiwanais) tout en feuilletant un manga (moi c’est Evangelion… et vous ?). Mais the best of the best consiste à rouler ses makis et faire la boulette à la main (oups mes 50% marocains s’expriment !) par boulette je voulais dire : former les nigiris. Et bien, nous avons trouvé une adresse (nous Unidivers Mag… je ne me prends pas pour Louis XVI mdr PTDR) pour apprendre les bonnes recettes japonaises et… pouvoir frimer devant les amis… Bah oui, il faut parfois briller sans être trop jugé (ou en silence, ou par derrière). Bref, je vous conseille la Cuisine de
Miho. Elle vous reçoit, vous apprend de superbes et délicieuses recettes de son si joli pays, le Japon. Et quoi de mieux qu’un professeur de cuisine adorable qui vous écoute et vous conseille sans se moquer. Par exemple, notre rédacteur en chef Nicolas Roberti était à mon goût mauvais rouleur « boulettier » (celui qui fait la boulette) et n’écoutait pas les consignes… et bien, elle est restée calme et gentille malgré mes dénonciations ! Une fois fait, vous dégustez vos préparations en sa compagnie, et celle de son Ami (A en majuscule car c’est son ami-compagnon) et vous découvrez des personnes sympas, simples et surtout très chaleureuses. Je vous conseille et re-conseille cette adresse. Maintenant vous n’avez plus d’excuse pour ne pas manger et abuser de la gastronomie japonaise comme moi.
NDLR : La rédaction, en particulier son chef, déclare ne pas se sentir solidaire de la mauvaise foi équipo-culinaire du Petit Piéton. A moins que cela ne soit de sa part une boulette…
