Le mercredi, c’est spaghetti ? Non, les carnets du Petit Piéton. Ils vont feront sourire, pleurer de rire, peut-être de joie, qui sait de honte. Les déambulations d’un grand acteur du pavé rennais.
Fashion or not Fashion
Qu’il est bon de déambuler, de se « perdre » en rêverie dans les jolies (et en travaux, encombrées… parfois sales) rues de Rennes ! Mais quelle est la maladie qui frappe si violemment les « adolescents » ? À tous les coins de rue, il est possible en cette période hivernale de croiser des aficionados des nains de jardins (toutes mes amitiés), des fans des années bonnets et pompons sur la tête (à moins que le courant soit issu des « bronzés font du ski »). Conseil du jour : pour être fashion, il faut savoir se démarquer, et non se cloner. Rejoignez l’armée du « non pompon style », nous pourrons même faire un clip tendance à la mode coréenne. L’adolescence est une rude, très rude période… (Heureusement, la mode du trappeur est passée !)
Un pied dans la tombe
Ne courez pas après le temps. Surtout pas après avoir « crébillonné » ou, comme on pourrait dire à Rennes, « colombé » les bras chargés de vos emplettes à moins 70 %… Car oui, tel un caveau dans un film d’horreur se brisant et vous aspirant, vous pourriez perdre pied sur ces magnifiques dalles de granites « made in China » qui aime a se fendre, s’effriter, se voir exploser comme dans un bon film de Kung Fu (Histoire de Fantômes chinois) et vous faire perdre l’équilibre et la contenance que vous arboriez en sortant de Colombia… 3 solutions s’offrent à vous : rester au sol en espérant que personne ne vous voit, vous lever d’un bon et courir vous réfugier chez le « bonn’Augustin » (brownie pour le moral) ou alors tenter de vous plaindre au responsable de la dalle… Perso, j’ai opté pour l’oubli dans le chocolat. Faites attention en période de soldes le terrain est miné parfois. PS : La honte fait grossir, si si…
Il est L’or mon Señor
D’origine multiple et non contrôlée (sud et extra sud), j’en ai pris plein les mirettes. Durant mes petites ballades – les yeux en mode radar, la tête tel un mirador – je scrute, m’interroge, et surveille mon environnement proche (comme les mamies en España, assises sur un banc à l’ombre regardant les allées et venues du quartier… la critique au bord des lèvres). Je suis tombé en admiration devant un pot (The Pot) rempli de pépites, de merveilles dorées et surmontées d’une clef d‘or. J’ai la maladie du « tout ce qui brille » ; eh oui, depuis le rococo rien n’a été créé ! Bref, si vous voyez un petit brun caressant des pépites au pied d’un arc-en-ciel, heu non, d’une clef, c’est moi. Ok, rendez-vous devant « La Petite Rennaise », je suis prêt à partager.