Bruno Daverdin est artiste et ingénieur paysagiste originaire de Nouvelle-Calédonie. Il s’est établi en 2022 à Lamballe dans les Côtes-d’Armor. Dès le début de son parcours académique, il a manifesté un vif intérêt pour l’art et la réalisation de carnets de terrain où il alie ainsi ses compétences techniques à une sensibilité artistique prononcée. Présentation d’un nouveau Breton voyageur.
Ses voyages et expériences professionnelles à l’étranger ont enrichi la pratique artistique de Bruno Daverdin jusqu’à lui permettre de développer un regard particulier sur les paysages, les cultures et les sociétés qu’il rencontre. Ses carnets de voyage sont le reflet de ses observations minutieuses. Ils mêlent analyses paysagères, découvertes culinaires, éléments historiques et anecdotes sociétales qui l’ont étonné, voire u amusé.
Installé à Lamballe, Bruno Daverdin s’est rapidement imprégné de l’atmosphère locale. Il explore la ville avec la curiosité d’un voyageur quuii s’émerveille des contrastes architecturaux et des perspectives offertes par les chemins de traverse. Cette fascination pour Lamballe l’a conduit à réaliser un calendrier intitulé « Lamballe Haute en couleurs« , compilant ses aquarelles de divers lieux emblématiques de la ville.
En parallèle de sa pratique artistique, Bruno s’investit dans la transmission de son savoir-faire. Il anime des ateliers et des stages, notamment au sein de l’école d’arts plastiques Art’L à Lamballe, où il propose des cours axés sur l’expression et la créativité plastique. Il participe à des festivals dédiés aux carnets de voyage, tels que le festival Vent Debout, où il partage son expérience et sa passion avec un public varié.
Bruno Daverdin contribue à des projets collaboratifs, comme l’illustration du livre « Un parfum de violette au milieu des barbelés » de Martine Durand, enrichissant ainsi l’ouvrage de ses dessins évocateurs. Son engagement artistique se manifeste également à travers la réalisation de fresques collectives, notamment avec des élèves du Collège Jules Solesse, où il a co-créé une œuvre intitulée « De la case au collège, itinéraires…«
Ses publications incluent « Taku, empreinte coloniale » (2021) et « Bura-Bura – Fait de déambuler sans but pour admirer le paysage » (2018), qui témoignent de sa capacité à capturer l’essence des lieux qu’il visite et de son talent pour raconter des histoires à travers ses illustrations.
Pour découvrir davantage son univers et suivre ses projets, vous pouvez consulter son site et le contacter par courriel à b.daverdin@gmail.com ou visiter son profil Instagram : bruno_daverdin