Alors que cette substance autorisée depuis les années 70 pour traiter des troubles musculaires est aujourd’hui utilisée par plus de 30000 patients dans le cadre de cures de sevrage alcoolique, l’agence du médicament vient d’entrouvrir prudemment la porte à une officialisation de cette pratique. C’est une première victoire qu’Unidivers salue après avoir épaulé le travail médiatique de reconnaissance (voir nos articles).