Lundi 22 juin, dans les locaux de l’Insa Rennes, l’association Team solar Bretagne Décathlon recevait ses partenaires. L’occasion de fournir de nombreuses informations sur l’avancée des travaux et des recherches. Le thème central : « concevoir une maison de 75 à 110 m2 utilisant le soleil comme unique source d’énergie ». Idée des plus stimulantes et dont les implications apparaissent immédiatement en terme d’économies et d’écologie. Mais il y a plus…
L’organisation même de cette association mérite d’être mise en avant, car elle répond à la fois aux attentes d’acteurs de l’enseignement, mais également de ceux de l’entreprise. Enfin, quelqu’un à réussi à fédérer idées et énergies, techniques et recherches. Jugez-en plutôt : la team solar, qu’est-ce que c’est ? Il s’agit du regroupement de différentes écoles dispensant une large palette de savoirs couvrant aussi bien l’ingénierie que l’approche commerciale ou 
Pratiquement quels sont les établissements impliqués ?
Les compagnons du devoir qui construiront le prototype.
L’EESAB (école supérieure d’architecture de Bretagne) responsable du design des objets et de la scénographie.
L’ENSAB (école nationale supérieure d’architecture de Bretagne) est impliquée dans
L’IAUR (Institut d’aménagement et d’urbanisme de Rennes), porté par l’Université Rennes2 apporte son soutien sur les aspects urbanisme et sociologie du projet.
Le Lycée Joliot Curie , L’IUT Rennes et L’ESIR (école supérieure des ingénieurs de Rennes) ont en charge la programmation d’un système intelligent de gestion de l’énergie (smarts grids, domotique, mobilité…)
Bien entendu, il ne s’agit pas que de construire une maison, mais de mener également une réflexion sur l’habitat breton. Le paysage est le suivant. Beaucoup de maisons dans les bourgs ou les villages sont délaissées puisqu’elles sont inadaptées aux exigences de la vie contemporaine. Il y a pourtant nécessité de les réhabiliter. Dans un second temps on constate qu’elles sont bâties sur le même schéma, dans une continuité qui forme nos rues et nos hameaux, mais souvent sur des parcelles devenues trop importantes pour elles. Ce constat est 
Pour l’observateur extérieur, que reste-t-il de ces exposés où l’insupportable charabia si cher aux grandes écoles rend parfois le propos presque incompréhensible ? D’abord que de véritables synergies ont été créées entre les écoles et que le fait de travailler ensemble est éminemment 
